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Periodical
Medical laboratory technology.
ISSN: 00222607 Publisher: London : Academic press,

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Periodical
Medical laboratory sciences.
ISSN: 03083616 Publisher: London : Academic press,

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Book
Métabolisme de l'antimoine
Authors: ---
Year: 1989 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Nous avons tenté dans ce travail de préciser certains aspects du métabolisme de l’antimoine.
Comme l’arsenic et l’antimoine ont des propriétés physicochimiques assez semblables et que l’antimoine se montre capable d’inhiber in vitro la méthylation hépatique de l’arsenic, nous avons tenté de déterminer si l’antimoine pouvait être biotransformé de la même manière que l’arsenic, c’est-à-dire en subissant des réactions de méthylation.
Les études que nous avons réalisées tant chez l’homme que chez l’animal montrent qu’il est très peu probable que des formes méthylées de l’antimoine soient excrétées dans l’urine.
En effet deux approches tendant à mettre en évidence des formes méthylées de l’antimoine se sont révélées négatives :
- la séparation de dérivés antimoniés volatiles après traitement par NaBH4
- la différenciation des dérivés sur base de leur résistance à la minéralisation.
Les études relatives à la distribution et l’excrétion de l’antimoine chez le rat ont démontré qu’après administration intrapéritonéale d’une dose unique d’antimoine inorganique trivalent, plus de la moitié de la dose est excrétée en 4 jours : l’excrétion se fait principalement par voie fécale, un cinquième de l’élimination se fait par voie urinaire. Après ce laps de temps, une partie de l’antimoine administré se retrouve dans le sang (6%) et le foie (1%).
Si l’administration d’antimoine se fait par voie intraveineuse, l’excrétion globale en 4 jours est un peu moindre qu’après une administration intrapéritonéale (± 44%) et les quantités excrétées par les voies urinaire et fécale sont plus ou moins égales.
L’excrétion biliaire d’antimoine commence très tôt après l’administration de l’élément ; celui-ci subit un cycle entérohépathique, en effet chez un rat auquel on administre par voie intraduodénale la bile d’un rat traité par de l’antimoine, une partie de l’élément est retrouvée dans les reins.
L’importance du glutathion dans l’excrétion biliaire de l’antimoine a été vérifiée en modifiant le taux de glutathion hépatique chez des animaux traités par une dose de l’élément.
Ces tests tendent à démontrer que tout comme l’arsenic l’antimoine est excrété dans la bile sous forme de conjugué avec le glutathion. Les études par chromatographie sur papier ne nous permettent pas d’affirmer avec certitude que dans la bile l’antimoine est conjugué au glutathion ; mais les résultats ne vont pas à l’encontre de cette hypothèse. Il semble cependant que l’antimoine ne soit pas conjugué à la cystéine.
Chez le rat il existe une relation linéaire entre la quantité d’antimoine excrétée par les voies urinaire et fécale et la dose administrée (administration unique, voie intrapéritonéale), du moins dans l’intervalle de concentration étudié (0 à 800 µg/Sb/Kg).
Chez des sujets professionnellement exposés à l’antimoine l’excrétion urinaire de l’élément est un reflet de l’intensité de l’exposition récente évaluée par des dosages atmosphériques aux postes de travail.
Nos observations permettent de conclure qu’à une exposition par inhalation de 500 µg Sb/m³ (concentration maximale admissible actuellement en milieu industriel), correspond une augmentation de l’excrétion urinaire moyenne de 35 µg Sb/g de créatinine


Periodical
Journal of medical technology
Year: 1970 Publisher: London:

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Book
Contribution à l'étude des mycobactéries
Authors: ---
Year: 1982 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Book
Etude taxonomique de corynébactéries productrices d'acide propionique
Authors: --- ---
Year: 1991 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Les approches biochimiques, chromatographiques et électrophorétiques se complètent et fournissent chacune des arguments positifs en faveur de notre hypothèse de départ.
Le groupe de corynébactéries CPAP présente des ressemblances évidentes au niveau du profil protéique, et se différencie nettement des autres espèces par la présence caractéristiques de 4 ou 5 bandes protéiques, situées entre 40 et 50 KDa.
Quelques soit leur comportement biochimique, on les retrouve distribuées parmi les 3 ou 4 profils décrits plus haut, ne représentant que de petites variations.
L’identification des acides gras cellulaires a permis de mettre en évidence 2 pics caractéristiques au sein de ce groupe : l’acide heptadécanoïque (C17 :0) et son dérivé, non identifié de façon précise. Ces acides gras à nombre impair d’atomes de carbone sont particulièrement peu fréquent dans la nature.
L’acide gras C17 :0 n’est mentionné que chez C. mycetoïdes, non repris dans notre étude et peu fréquent chez l’homme, seuls quelques ulcères tropicaux ayant été rapportés par Castellani en 1942.
Au sein des corynébactéries CPAP, on peut essayer de regrouper les souches en fonction des proportions relatives des pics d’acides gras.
Le nombre de combinaisons possibles est très élevé et ne permet pas de corréler un sous-groupe à un caractère phénotypique particulier.
Mais il est intéressant de remarquer, que là encore, les corynébactéries CPAP, qu’elles appartiennent à l’espèce minutissimum 1, au groupe I, groupe F, ou au groupe X, se répartissent dans tous les sous-groupes ainsi formés ;
Biochimiquement, ces souches hétérogènes selon les critères conventionnels que l’on pourrait considérer comme arbitraires (NR, uréase, fermentation du maltose et du saccharose), manifestent cependant de l’homogénéité dans plusieurs autres caractères tels que l’attaque du ribose, la présence de phosphatase alcaline, l’absence de glycyl-glycine arylamidase, de tween-estérase.
A priori, il n’y a pas de raison valable d’accorder plus de poids à la fermentation du maltose plutôt qu’à celle du ribose ou d’un autre sucre.
Notre étude semble fournir des éléments probants suffisants pour entamer une étude génétique complète des souches, sans laquelle aucune définition taxonomique n’est possible de nos jours.
L’apparition de plus en plus fréquente en milieu hospitalier, de ces germes de nature opportuniste présentant un danger certain vu leur plus grande résistance aux antibiotiques, justifie leur identification précise.
Nous avons obtenu à cet effet une collaboration avec l’Institut Pasteur de Paris, où ces couches sont pour l’instant étudiées dans le laboratoire de P.A.D. Grimont. Ceci afin d’établir par hybridation ADN/ADN les relations taxonomiques qui existent entre elles d’une part, et d’autres part les comparer aux souches types des autres espèces de corynébactéries rencontrées chez l’homme.
Tout en soulignant le mérite du Pr. Peloux, qui le premier a mise en évidence l’importance de l’acide propionique et proposé une subdivision des espèces minutissimum et xerosis basée sur ce caractère, le choix de sa nomenclature nous semble peu judicieux.
L’ensemble de notre étude démontre bien le peu de ressemblances existant entre C. minutissimum 1 appartenant au groupe CPAP et C. minutissimum 2, de même entre C. xerosis 2 et C. xerosis 1, qui se rapprocherait de nos souches du groupe X.
Un ou plusieurs nouveaux termes complètement indépendants devraient être choisis. Si les résultats d’hybridation ADN/ADN confirment notre hypothèse, l’aspect cireux des colonies du groupe CPAP pourrait être repris dans le nouvelle nomenclature.
Notre second objectif était d’apporter une aide dans l’identification quotidienne en laboratoire des corynébactéries. Quelques tests faciles, rapides et peu coûteux permettent une première orientation.
Nous avons mis au point un schéma dichotomique, utile dans une première approche, mais qui doit être complété si nécessaire.
La chromatographie en phase gazeuse, lorsqu’elle est disponible et bien utilisée, représente un outil de choix, performant et rapide, fournissant l’identification du genre Corynebacterium sans équivoque (acide gras à longue chaîne) , l’identification de l’espèce dans certains cas (ex. C. groupe D2) et des renseignements supplémentaires discriminants tels que le production d’acide propionique.
Les galeries d’identification commerciales, beaucoup plus coûteuses, peuvent attirer certains laboratoires par leur simplicité d’utilisation et leur large éventail.
Il faut pourtant garder son sens critique, ne pas se fier aveuglément à un résultat correspondant en fait à un pourcentage de probabilités souvent peu élevé, et confirmer éventuellement l’identification par des tests supplémentaires.
Nous terminerons, en proposant un tableau général, reprenant les principaux caractères discriminants au sein du genre Corynebacterium.
Ce tableau d’identification a le mérite de rassembler des données importantes, fragmentées jusqu’à ce jour. Il permet d’établir un lien entre la classification de Peloux, celle du CDC, et celle du Bergey’Manual of Systematic Bacteriology.


Periodical
京都大学医療技術短期大学部紀要 [[キョウトダイガクイリョウギジュツタンキダイガクブキヨウ]].
Author:
Year: 1981 Publisher: Kyōto-shi : Dō Gakubu

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Book
Critical issues in medical technology.
Authors: ---
Year: 1982 Publisher: Boston Auburn House

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Dissertation
Effet postantibiotique in vitro des aminoglycosides et des fluoroquinolones sur des bacilles à gram négatif et sur Staphyolococcus aureus.
Authors: ---
Year: 1991 Publisher: Leuven s.n.

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Book
Medizintechnik : Vorarbeiten für ein Förderungsprogram des B.M.F.T.
Author:
Publisher: München Gersbach

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